C’est le message limpide délivré par l’ensemble des grandes banques centrales occidentales ces derniers temps. Sur l’autel de l’inflation, la croissance est prête à être sacrifiée. Depuis le début du mois, une séquence inédite s’est déroulée. Le 6 septembre, la Banque de réserve d’Australie a relevé ses taux de 0,5%. Elle a été suivie le lendemain par la Banque du Canada avec une hausse de 1,25%. Le 9, c’est la Banque centrale européenne (BCE) qui a annoncé une hausse de 0,75%, imitée le 21 par la Réserve fédérale des Etats-Unis (FED). Une séquence qui s’est achevée le 22, avec 0,5% de hausse des taux directeurs de la Banque d’Angleterre. Continuer la lecture…
L’incertitude économique a provoqué la tempête parfaite de risques imbriqués décrits dans l’édition de l’année dernière du Risk in Focus in new directions in 2023….
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