Les entreprises sous-estiment encore trop le risque de cybercriminalité

30 mai 2017

Le courtier en assurances ADD, spécialisé dans les risques d’entreprise, étend son assurance contre la cybercriminalité ICT Care. Le courtier indépendant est convaincu que malgré une demande croissante, les entreprises sous-estiment encore trop les dommages occasionnés par la cybercriminalité.

La police ICT Care comportait déjà un module « assurance contre la perte d’exploitation » qui indemnise les pertes causées par un sinistre encouru par l’entreprise. Avec cette nouvelle extension, la perte d’exploitation causée par une interruption des services du fournisseur cloud (‘interruption du service cloud’) est elle aussi couverte.

« Dans notre pays, la majorité des entreprises ne sont pas couvertes contre la cybercriminalité. Pourtant, une cyberattaque constitue un risque réel et toujours plus important. La récente attaque mondiale du ransomware WannaCry en est la preuve », déclare Door Cooreman, spécialiste du cyberrisque chez ADD. « Si une entreprise est victime d’un ransomware, avec donc une demande de rançon en échange de fichiers cryptés, les activités de l’entreprise sont temporairement à l’arrêt. De ce fait, l’entreprise doit consentir à des frais supplémentaires, et le chiffre d’affaires prévu ne sera pas atteint. La police ICT Care permet de maintenir le niveau du chiffre d’affaires de l’entreprise comme si l’attaque ne s’était pas produite.»

Les causes d’un cyberrisque, avec mise à l’arrêt de l’entreprise à la clé, sont variées: une attaque extérieure, une erreur humaine, une panne technique, mais aussi un problème au niveau du fournisseur cloud. Désormais, tout cela est également couvert.

La police ICT Care d’ADD fournit avant tout une assistance en cas de problèmes de sécurité ou de crash des systèmes. Les clients bénéficient de l’aide de spécialistes afin de mettre immédiatement un terme à une attaque, de limiter et de réparer les dégâts, et de respecter la législation. Cette assurance couvre les conséquences financières d’une cyberattaque, tant en ce qui concerne le matériel que les logiciels. En outre, l’entreprise touchée et ses administrateurs sont encadrés pour les actions en responsabilité civile et les dommages à la réputation.

« Veillez à être couverts contre les risques, y compris les cyberrisques. Car quand quelque chose ne peut être empêché, il est possible, dans ce cas, de remédier aux conséquences », conclut Door Cooreman.

Source: ADD

 

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