Il ne s’agit pas d’une crise, mais de la fin d’un modèle de société
En août 2013, voici ce que j’écrivais au sujet du soi-disant : « Printemps arabe »: « Parce qu’elles étaient factices, suscitées et financées de l’extérieur, et ceci sous l’impulsion des mêmes « sponsors » et des mêmes filières que les révolutions dites de « couleurs » en Europe de l’Est, et parce qu’elles n’étaient pas ancrées dans le mental des peuples concernés, ces révolutions étaient vouées à l’échec. Elles ne sont en effet pas nées d’un sentiment national collectif, ni d’une majorité des citoyens, mais seulement « marchandées » de l’extérieur dans une gigantesque partie d’échec, où l’on ne voit pas bien ni où, ni à quoi les USA imaginaient parvenir – sinon au chaos- en suscitant cette alternance du pouvoir en faveur des extrémistes islamistes,… » Continuer la lecture…