SAS annonce une alliance stratégique avec Keyrus

29 octobre 2015

SAS, spécialiste de l’analytique, et Keyrus, fournisseur de solutions complètes en business intelligence, performance management, conseils ainsi que solutions et conseils technologiques, conjuguent leurs forces afin de pouvoir proposer des solutions à valeur ajoutée destinées au département financier, quel que soit le secteur d’activités concerné. Continuer la lecture…

Adyen, un leader en solutions de paiement, débarque en Belgique

27 octobre 2015

Adyen, spécialiste international dans les technologies de paiements basé à Amsterdam et San Francisco, propose à présent sa plateforme de transactions tout-en-un pour les sites marchands belges fonctionnant avec un ou plusieurs canaux : terminal point de vente (TPE), mobiles et e-commerce. Sa solution mondialement reconnue et utilisée notamment par Facebook, Netflix ou encore Dropbox est la seule à connecter directement les entreprises à plus de 250 moyens de paiement locaux et internationaux.   Continuer la lecture…

Jean-Pierre Buyle

Jean-Pierre Buyle

Président de l’Ordre des barreaux francophones/germanophone - Avocat Associé

LES OBLIGATIONS PERPETUELLES SUBORDONNEES ONT-ELLES LEUR PLACE DANS UN PORTEFEUILLE EN GESTION ?

26 octobre 2015

En 2005, une banque avait investi une partie du portefeuille de son client dans des produits structurés dont les taux d’intérêts étaient calculés sur le modèle CMS (« Constant Maturity Swap »).  Ces produits étaient des obligations perpétuelles subordonnées qui portaient intérêt à un taux particulier, étant le taux CMS. Le montant de l’investissement du portefeuille du client dans ces produits s’élevait à 4.002.000 € mais la valeur de ces obligations avait rapidement commencé à chuter (soit, dès la fin 2005). Le client reprocha à sa banque une faute manifeste de gestion (par rapport à son obligation de diversification du risque notamment) et une violation des contraintes de gestion imposées par la convention liant les parties (non-respect des exigences de liquidité et de risque moyen de l’investissement). Il postula, en conséquence, le rachat par la banque des titres CMS encore dans son portefeuille, à la valeur de son investissement.

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Bruno Colmant

Bruno Colmant

Professeur d'économie à l'université. Membre de l'Académie royale de Belgique. Stratège. Écrivain. Conférencier.

Le « Perma QE » : un assouplissement monétaire infini ?

24 octobre 2015

On le sait : l’éternité, c’est long, surtout vers la fin, comme l’avait supputé le regretté Pierre Desproges. En économie aussi, la création monétaire infinie, c’est dangereux…surtout quand on n’en voit pas la fin. Depuis des mois, les principales banques centrales augmentent l’offre de monnaie, en réescomptant des dettes publiques, et parfois privées.

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TINC accroît davantage son portefeuille d’investissement

23 octobre 2015

TINC, la société d’investissement en actifs d’infrastructure cotée sur Euronext Bruxelles, investit dans le parc éolien off-shore Nobelwind et augmente sa participation dans Solar Finance. En tant qu’investisseur, TINC participe à la réalisation du nouveau parc éolien off-shore Nobelwind, situé au large des côtes de Zeebrugge, à côté du parc éolien offshore existant Belwind. Continuer la lecture…

Baromètre des investisseurs ING

22 octobre 2015

En septembre, le Baromètre des Investisseurs ING est passé pour la première fois cette année sous la barre des 100 points. Certes, la volatilité boursière s’est accrue, mais les investisseurs belges s’attendent en outre à un ralentissement conjoncturel. Sur le long terme, les Belges ont toujours des doutes quant à l’évolution de leur situation financière, un point sur lequel les femmes se montrent légèrement plus pessimistes que les hommes. Continuer la lecture…

Taxation des options sur actions : le cauchemar fiscal ?

20 octobre 2015

Bruno Colmant
Depuis que j’ai consacré une thèse de doctorat à ces matières comptables et fiscales, il y a une quinzaine d’années, j’ai acquis une conviction: il est impossible de définir la spéculation, surtout lorsqu’elle est fondée sur l’utilisation de produits financiers sophistiqués, tels des options et warrants. La plupart des cadres comptables nationaux et internationaux s’y essaient depuis des décennies, sans être capable de fournir une réponse cohérente à la qualification des instruments financiers dérivés, puisque leur traitement comptable (et donc fiscal) n’est pas absolu, mais fondé sur l’intention qui prévaut à leur mise en œuvre. Toutes les législations fiscales qui s’y sont essayées se sont d’ailleurs perdues dans d’obscurs labyrinthes conceptuels, parsemés de pièges techniques et autre culs-de-sac liés à l’ingénierie financière.
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Bruno Colmant

Bruno Colmant

Professeur d'économie à l'université. Membre de l'Académie royale de Belgique. Stratège. Écrivain. Conférencier.

Taxer la plus-value sur actions : les deux visions de l’économiste et du juriste

16 octobre 2015

La taxation des plus-values sur actions est une matière extrêmement complexe. Elle exige de conjuguer une perspective juridique et financière. Une entreprise belge n’existe pas pour elle-même : elle constitue un être économiquement abstrait, malgré sa personnalité juridique distincte. Elle fait des bénéfices pour ses actionnaires, qui sont, in fine, toujours des personnes physiques. Ses bénéfices sont normalement doublement taxés. Ils sont atteints par l’impôt des sociétés avant de subir l’impôt des personnes physiques, c’est-à-dire le précompte mobilier, lors du paiement des dividendes. Continuer la lecture…